Prise de position sur l’actualité
Octobre 2021 – Convention d’affaires de l’ULCC: le tourisme lémanique face à son avenir
Décembre 2020 – Fermeture des remontées mécaniques : des enjeux forts pour l’espace lémanique
Réunis en Comité jeudi 3 décembre, les partenaires institutionnels du Conseil du Léman ont décidé de transmettre à la Présidence de la République française, avec copie au Ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les Collectivités territoriales ainsi qu’au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, un courrier soulignant les enjeux dommageables de la fermeture des remontées mécaniques en France pour le territoire lémanique dans son ensemble.
Novembre 2020 – Télétravail des frontaliers et régime d’imposition et d’assurances sociales
Le Conseil du Léman a interpellé Berne et Paris sur la question de l’imposition et des assurances sociales des frontaliers. A l’attention des Conseillers fédéraux en charge des Finances et des Assurances sociales ainsi qu’en France des Ministres de l’Economie et du Travail, les partenaires institutionnels du Conseil du Léman ont souligné la nécessité de prolonger le cadre règlementaire actuel jusqu’au 30 juin 2021
Octobre 2020 – Convention d’affaire de l’ULCC : le coeur de l’industrie lémanique bat sans frontière
Avec le soutien du Conseil du Léman, l’Union lémanique des chambres de commerces, présidée par la Chambre vaudoise de commerce et d’industrie (CVCI), a organisé le 08 octobre une journée de rencontre autour de l’industrie de la machine-outils au sein de l’entreprise Bobst à Bex (Vaud).
Août 2020 – LIbre-circulation
Le Conseil du Léman souligne l’importance de la libre circulation au sein d’une communauté de destin de part et d’autre de la frontière. Alors que la votation sur l’initiative «pour une immigration modérée » aura lieu le 27 septembre 2020, le Conseil du Léman publie une synthèse des différentes analyses menées depuis 2018 sur les interconnexions fonctionnelles du bassin lémanique. Ces analyses font notamment ressortir l’importance des réseaux de mobilité économique. En cas d’adoption de l’initiative, l’abolition des accords bilatéraux qui en découlerait, dans les faits, remettrait en cause les conditions-cadres des éléments constitutifs de la compétitivité de notre territoire.